Le Guide du Zero Start-up


Web entrepreneur et millionnaire à 16 ans 



 Christian Owens est un jeune chef d'entreprise, petit génie des affaires « né » sur le Web. Seule particularité : ce nouveau Tycoon n’a que… 16 ans, et son aventure fait désormais le tour du monde. Il y a deux ans, fasciné par la réussite de Steve Jobs, l’emblématique patron d’Apple, le jeune écolier britannique de 14 ans décide à son tour de lancer sa petite entreprise, rapporte le site Gizmodo. Son idée ? Vendre un pack composé d'une dizaine de logiciels utilitaires pour Mac à un prix défiant toute concurrence ! Pour réussir à commercialiser le « Mac Bundle Box », il va d’abord convaincre des développeurs de baisser drastiquement leur prix de vente en leur expliquant l'avantage de son offre: vendre moins cher mais à beaucoup plus grande échelle.Pour attirer les clients, il a ensuite une idée imparable : créer un magnifique site web directement inspiré des codes graphiques de l’univers Apple pour y promouvoir son pack. Les visiteurs, habitués à l'image haut de gamme de la marque à la pomme, se sentent ainsi en confiance, et dépensent facilement les 49 dollars pour le pack à télécharger. Et les acheteurs apprécient la bonne affaire: le prix est imbattable pour des logiciels qui, achetés séparément, feraient monter la facture à plus de 400 dollars, soit près de 10 fois le prix du pack !!
Encore plus fort : pour accélérer le bouche à oreille, un logiciel supplémentaire sera offert à tous les acheteurs, dès lors qu’un certain nombre de packs sera vendu. Chaque acheteur a naturellement envie de faire connaître la bonne affaire autour de lui, et ses clients deviendront donc ses meilleurs agents commerciaux, l'effet viral est en marche !Deux ans après le lancement, le chiffre d’affaires engrangé par le « Mac Bundle Box » de Christian Owens atteint le million de dollars, faisant la fortune du jeune homme à 16 ans seulement. Conquérir le marché de la publicité sur mobileLorsqu'on lui demande quelles ont été ses motivations pour se lancer, la maturité de sa réponse étonne: « Je voulais construire quelque chose de génial, qui serait utile au plus grand nombre, un produit qui pourrait révolutionner la manière dont les gens font les choses ». Les mots nous rappellent beaucoup le discours d'un certain... Steve Jobs ! Christian ne cache pas son admiration pour celui qui est depuis toujours son modèle de réussite. Il nous confie aller jusqu'à étudier la manière dont Jobs dirige la compagnie, dont sont lancés les produits, et va même jusqu'à s'inspirer de la manière dont Apple communique.         Le jeune homme a décidé de ne pas s’arrêter en si bon chemin. Son dernier défi : concurrencer Google et Apple sur le marché très porteur de la publicité sur mobiles. Google a racheté le leader du marché Admob en 2009, et Apple vient de lancer iAd, une plateforme concurrente. Mais ces mastodontes ne font pas peur à l’adolescent, qui vient de lancer sa propre régie : Branchr. « En plus des campagnes d'annonceurs classiques que nos concurrents proposent, nous avons  également des offres pour les très petits budgets, segment qui est par exemple négligé par iAd. Accompagnant la courbe de croissance du parc de smartphones dans le monde, la publicité sur mobile est en effet un marché en plein expansion, et il semble que Christian Owens ne s'y soit pas trompé : Branchr intègre aujourd'hui ses publicités au sein de plus de 17 000 applications installées sur mobiles et revendique déjà 300 millions d’affichage de publicité par mois !

Le jeune Owen n'est pas du genre à se reposer sur ses lauriers. Après son premier million de dollars gagné grâce au « Mac Bundle Box », il a bien l'intention de continuer à faire évoluer Branchr pendant encore quelques années.


Mais les grandes entreprise étant souvent tentées de racheter des startups ayant réussi sur un créneau qu'elles convoitent, un rachat par Google ou Apple ne serait donc pas impossible. A la question de savoir comment il accueillerait une offre de Jobs pour lui racheter Branchr, Christian nous répond avec humilité « Si Apple me contactait pour cela, ce serait un très grand honneur, et je serais ravi d'en discuter avec Steve Jobs

Christian a aujourd'hui 16 ans, et pendant que ses copains s'affrontent devant une console de jeux vidéo, lui préfère réfléchir à de nouveaux projets, son esprit d'adolescent fourmillant de nouvelles idées, dont certaines seront peut-être ses prochains succès.

 Nicolas Catard


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A la une

« Facebook est le site des flux sur les gens, nous, on est le site de flux sur les lieux ». Martin Destagnol, le fondateur de la toute jeune start-up Plyce, n’a pas froid aux yeux et s’apprête à défier sans complexe le mastodonte américain.

Son concept? Inclure la géolocalisation dans le réseau social. Avec Plyce, une application actuellement disponible sur i-Phone, vous pouvez indiquer en temps réel le lieu dans lequel vous vous trouvez, voir les personnes qui y sont également et interagir avec eux (photos, commentaires…). « Plyce va permettre d’écrire l’histoire des lieux », explique-t-il.

Martin Destagnol annonce un lancement européen et affiche une ambition mondiale . Mais les concurrents sont déjà nombreux sur ce marché en plein boom. « C’est plutôt bon signe, non? », positive le jeune entrepreneur.
 

Kamel Zeroual – Stribe: Tous les sites Internet sont des réseaux sociaux potentiels 

« N’importe quel site Web peut devenir un réseau social en 5 minutes ». Cela pourrait être la devise de Stribe, jeune Start-up créée en mars 2008 avec un concept simple mais efficace: connecter en réseau les internautes d’un même site Web.

En 2009, les récompenses se sont amoncelées sur la « société au ruban ». Seule représentante française au prestigieux TechCrunch50 à San Francisco en septembre dernier, Stribe vient de décrocher le titre de start-up de l’année au Web’09, conférence qui réunit le gratin du Web à Paris.

« Choisir les bons concours, c’est indispensable », explique Kamel Zeroual, un des fondateurs de Stribe qui risque bien de faire beaucoup de bruit en 2010. Vous pouvez d’ailleurs testez gratuitement le système en rejoignant la communauté DécideursTV!


Amandine Scotti – Allogold & Frédéric Prigent – Tradedoubler : Peut-on communiquer efficacement avec les réseaux sociaux? 
Monétiser sur Internet… voilà qui fait encore débat. Le « marketing digital » en est encore à ses balbutiements et les sociétés qui comptent sur le Web pour développer leur business misent gros.
Amandine Scotti, cofondatrice de Allogold, et Frédéric Pringent, responsable du site Tradedoubler, sont passés maîtres dans l’art d’étudier le comportement des internautes. Leur maitrise des outils technologiques et leur compréhension des réseaux sociaux leur permettent de faire de la communication « personnalisée ». Le spamming à tout va est donc révolu… l’intrusion des marques dans la sphère privée prend-elle le dessus?

 

Bruno Soulez – Arthemia & Eric Chaniot – Bonartisan.com : Vers l’artisanat web 2.0?
Exit l’image de l’artisan bourru aux mains calleuses! Le maître ouvrier se dirige vers les nouvelles technologies et vend désormais son savoir-faire sur la toile. Un quart seulement des artisans ont une vitrine internet mais 96% d’entre eux utilisent le web et en reconnaissent l’utilité.

C’est le constat de Bruno Soulez, fondateur d’Arthemia, le réseau social de l’artisanat, et d’Eric Chaniot, père du site BonArtisan.com. L’outil internet permet aux façonniers de trouver des partenaires, des sous-traitants, des clients et de profiter du bouche-à-oreille virtuel. Bien que ces professions manuelles manquent de temps pour exploiter le numérique, elles s’orientent indéniablement vers un monde 2.0.

  Benjamin Hakoun – Fitting Box , Philippe Herbert – Banexi Ventures : Enquête sur la relation entrepreneur investisseur lors d’une création d’entreprise


Monétiser sur Internet… voilà qui fait encore débat. Le « marketing digital » en est encore à ses balbutiements et les sociétés qui comptent sur le Web pour développer leur business misent gros.Amandine Scotti, cofondatrice de Allogold, et Frédéric Pringent, responsable du site Tradedoubler, sont passés maîtres dans l’art d’étudier le comportement des internautes. Leur maitrise des outils technologiques et leur compréhension des réseaux sociaux leur permettent de faire de la communication « personnalisée ». Le spamming à tout va est donc révolu… l’intrusion des marques dans la sphère privée prend-elle le dessus?
Les bon conseil de JP EHOUMAN CEO Alldeny

Le succès économique de l’Afrique pourrait venir de ses entrepreneurs et créateurs de tpe/pme : acte 1

Il se dit souvent en Afrique : « Il vous faut un business à coté car le salaire ne suffit pas ». Ainsi tout le monde est plus ou moins commerçant. J’ai une tante qui par exemple vend des jus de fruit à ses collègues générant ainsi un revenu non négligeable pour arrondir ses fins de mois. Je ne parles donc pas de cette catégorie d’entrepreneur.
Le succès économique de l’Afrique repose donc sur des entrepreneurs ayant immatriculés leur entreprises auprès des autorités de régulation du commerce et des services de fiscalités. Aussi petites que soient ces entreprises, elles représentent une énorme opportunité d’emploi et de génération de valeur. Sauf que sans un plan d’aide pour ces entreprises qui restent fragiles, très peu de personnes osent faire le saut.
Un exemple banal d’aide pourrait être de mettre en place des bureaux à disposition de certains entrepreneur pendant un certain temps. Ces choses se font dans d’autres régions du monde. Une telle action encouragerait plus d’un. Sachant qu’en Afrique les clients accordent très peu de confiance à des entreprises domiciliés au domicile de l’entrepreneur. A Abidjan, j’ai pu avoir quelques informations sur une initiative dans ce sens. Mais elle reste tout de même difficile d’accès pour la plupart des jeunes entrepreneurs qui commencent avec un capital très faible. Il s’agit de la société « office + » qui met à disposition des bureaux à partir de 50 000frcfa/mois. Les autorité devraient se rapprocher d’une telle initiative et collaborer pour l’envisager à grande échelle.

La marque personnelle : acte 2 ou « Ou vais-je ? »

Dans un précédent billet j’expliquais que « votre marque » était susceptible de vous crée des opportunités. Ainsi vous devez donc la peaufiner afin qu’elle vous permette d’atteindre vos objectifs. Cela implique que vous avez préalablement défini certaines choses telle que « vos ambitions », « vos projets ».
Vous devez à tout moment garder en tête ce qui vous motive. L’optimisation de votre marque personnelle se fera de manière naturelle.
Lorsque vous avez un but précis, vous êtes à même d’utiliser les outils appropriés pour la gestion de votre marque personnelle. Vous limitez ainsi les risques de débordement et de mauvais usages. Ainsi, si votre objectif est de devenir influant dans la sphère musicale, vous devriez miser une grosse partie de votre activité sociale en ligne sur Myspace. Si par contre vous envisagez promouvoir l’activité de votre entreprise qui commercialise des produits bien définis, il vous faudra créer un compte Twitter et une page de fan sur Facebook.
N’hésitez pas à prendre le temps de lire les retours d’expérience des premiers utilisateurs des réseaux sociaux numériques afin d’en tirer profit.
Je passe une bonne partie de mon temps à essayer de comprendre ce que les fondateurs de pme/start-up ou créateurs de produits à succès ont de particuliers dans leur manière d’être ou de faire les choses. Ainsi l’on peu établir quelques « patrons de conception » et aussi des attitudes que l’on retrouve souvent chez ces personnes. Voici donc une liste (non exhaustives) de traits de caractère que j’ai pu remarquer chez ces personnes. Bien entendu, certains entrepreneurs réussissent sans avoir ces traits de caractère.
La curiosité
ils lisent beaucoup et n’hésitent pas à poser des questions pour des choses qui peuvent paraitre triviales à priori. Ils ont une soif d’apprendre. Ils veulent savoir ce qu’à pu emmener un tel au succès ou à l’échec. Ils sont aussi à la recherche perpétuelle d’éléments qui leur permettraient de motiver et de garder leur meilleurs employés.

11 traits de caractère des entrepreneurs qui réussissent


La capacité à collaborer
Ceux qui savent déléguer et établir de solides relations avec leur employés arrive plus facilement à proposer des solutions ou produits répondant aux réels besoin des clients.
Utiliser le moins d’argent possible
Pour un entrepreneur à succès il y a une presque-maxime : « une aventure entrepreneuriale tend à crée de l’argent et non pas à en utiliser ». C’est ainsi qu’ils cherchent toujours le moyen de mettre la main dans la poche le moins possible. Préférant des échanges marchandise par exemple à des achats, ils trouvent toujours des moyens ingénieux pour acquérir les ressources dont ils ont besoin sans être obligé de toucher à leur bourse.
L’épanouissement
Faire quelque chose que l’on aime et qui procure une joie de vivre est primordiale pour ces entrepreneurs. Ils aiment avoir le contrôle totale de leur revenue. Aussi ils tirent une énorme satisfaction dans le fait qu’il créent des produits/services ou concept à valeur ajoutée.
Des maniaques de la planification
Pour eux tout doit être planifié. Que ce soit les actions à court terme ou celles qui doivent être mise en œuvre dans le moyen et long terme, ils prennent le temps de mettre à l’écrit un plan avec un niveau de détail assez élevé. Cela leur permet d’avoir une ligne directrice et de pouvoir à tout moment changer leurs orientations grâce à un suivi quotidien.
Gros utilisateurs des technologies (pour ceux qui en ont l’accès)
Les meilleurs entrepreneurs n’hésitent pas à investir dans un sites web de haute qualité tout en prenant le temps de mettre en place des outils de gestion et de communication interne. Pour eux, lorsqu’il s’agit de ces choses, ils ne faut pas hésiter à mettre la main dans la poche.
Agir pour la communauté
En marge de leurs activités commerciales, les entrepreneurs à succès posent souvent des actes en faveur de la communauté. Ils sont engagés dans des œuvres caritatives ou tout simplement ils initient des projets pour aider les autres.
Les « Hommes d’action »
La pro-activité n’est pas une option pour eux. A tout moment ils essaient de se différencier de leur concurrents en prenant les devants. Il prennent des risques que Mr/Mme lambda jugerait insensés. Aussi, ils ne considèrent pas les erreurs comme une fatalité. Bien au contraire, ils les utilisent pour établir de nouvelles stratégies d’approches et donc pour augmenter leurs chances de réussite lors de leurs prochains essais.
Hyper-motivé
Finalement les entrepreneurs qui réussissent sont des personnes ayant une motivation hors du commun. Lorsque l’on pense qu’ils ont atteint le fond, ils arrivent à surprendre en refaisant surface avec une nouvelle idée qu’ils mettent en œuvre avec une énorme détermination et une confiance inébranlable.
Une auto-évaluation objective et permanente
Ils restent honnêtes avec eux même lorsqu’il s’agit de s’auto-évaluer. Ainsi, ils mettent tout en oeuvre pour corriger leurs imperfections. Toujours près à se remettre en cause lorsque ce qu’ils ont prévu ne marche pas, ils considère par exemple que si un employé n’arrive pas à accomplir une tâche, c’est surtout parce qu’ils ont choisi le mauvais employé pour la tâche en question.
Ils arrivent à faire une utilisation optimale de l’expertise des autres et restent continuellement dans l’apprentissage des « bonnes pratiques » et des « patrons de conception » provenant des concurrents ou des confrères.