Les ivoiriens ne reste pas en marge face à la geek attitude fan de Jeux Vidéo de combat,d'aventure de rôle mais par dessus tout les jeux de sport comme Pro évolution soccer.
Depuis 2004, les tournois de jeux vidéo en Côte d’Ivoire ont pris un tournant officiel. La discipline préférée des gamers ? Le foot, bien sûr ! Sport national, sur pelouse et sur console, le ballon rond rassemble les jeunes de tous horizons.
Coupe d’Afrique des Nations. Les Éléphants (surnom de l’équipe nationale ivoirienne) sont arrivés en demi-finale. Dans les stades professionnels comme dans les rues des quartiers d’Abidjan, le ballon rond règne en maître incontesté. Le foot, c’est LE sport universel, celui que l’on pratique avec trois fois rien. C’est aussi celui qui rapproche, dans un pays frappé, il y a cinq ans, par une guerre civile. Rien d’étonnant, donc, que ce sport se soit taillé la part du lion dans le marché des jeux vidéo en Côte d’Ivoire, à l’instar de la France, où le succès des séries Pro Evolution Soccer et FIFA est incontestable. À Abidjan, le cœur des gamers bat donc à l’unisson, puisqu’ils sont une très large majorité à préférer le foot… Tout comme dans le monde virtuel ! Michaël Aiba, directeur associé et cofondateur, avec Arnaud Gomet et Médard Yohou, de l’agence de production des événements de la Fédération ivoirienne des sports électroniques (GAMM Events), peut en attester. Depuis 2004, il s’implique avec une détermination rare dans l’organisation de tournois (principalement sur PS2) afin de populariser la pratique du jeu vidéo auprès des jeunes Ivoiriens. Si, dans ces rencontres, il est possible de s’affronter sur Tekken ou Gran Turismo, 90% des participants préfèrent PES. « Les joueurs adorent le football. De fait, ils s’orientent en premier lieu vers PES. Par exemple, le championnat universitaire se déroule uniquement PES 2008 coûte 90 euros sur le marché ivoirien
sur le jeu de Konami. »
Symbole de l’engouement croisé pour le jeu vidéo et le football, ces compétitions attirent bon nombre de gamers. Et sont la preuve que le jeu possède les mêmes valeurs que celles véhiculées par le sport dans sa globalité : rassemblement des cultures et des nations autour d’un objectif commun, fair play… Ainsi, lors des tournois, comme dans les tribunes ou sur la pelouse d’un stade, jeunes de tous horizons s’unissent pour leur passion. Les supporters chantent, pleurent. L’ambiance est grisante. Et les compétitions, vecteurs d’émotions. « L’un de nos objectifs est de briser les barrières raciales, ethniques, religieuses et sociales. Selon nous, ce but a été atteint. Nous avons constaté que certains joueurs venaient dans de grosses berlines, accompagnés de leur chauffeur, tandis que d’autres empruntaient le bus. Toutes les couleurs de peaux étaient rassemblées. Nous estimons qu’à notre modeste niveau, nous contribuons à la réconciliationnationale après ces cinq années de crise que nous venons de traverser », décryptent Michaël Aiba et Arnaud Gomet. Mais le « brassage » ne se limite pas à une diversité sociale et ethnique sur les listes d’inscription. « Dans la salle de compétition, les joueurs ont tissé des liens d’amitié. Nous pensons qu’une communauté de gamers, et, au-delà, une communauté de jeunes de toutes origines, est en train de se créer. »
Qui est le Geek
Toutefois, le terme s’est rapidement développé, ne désignant plus quelqu’un possédant une simple passion pour l’informatique, mais une passion pour plusieurs domaines différents parmi lesquels la science-fiction, l’informatique, ou le fantastique6,7.
Depuis le début du XXIe siècle, les multiples définitions qui furent attribuées au terme geek peuvent se résumer par leur point commun : le geek est celui qui s’évade grâce à son imaginaire, c’est-à-dire qui se divertit grâce à celui-ci, en se passionnant pour des domaines précis (science-fiction, fantastique, informatique…) dans lesquels il aura une connaissance très précise, et en s’insérant au sein de communautés actives de passionnés.
source:wikipedia-jvn.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire